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COIN BUSINESS : Après la politique, les sondages sont-ils appelés à gouverner les entreprises ?
20-04-2008
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  • Le New York Times consacre un article à l’utilisation des marchés prédictifs (prediction markets) dans les processus de décision.
 
  • Soit un projet envisagé dans une entreprise.
 
  • On propose aux salariés de parier sur la probabilité de son aboutissement.
 
  • Une cotation s’établit, qui varie au jour le jour en fonction de l’évolution du projet.
 
  • La théorie des marchés prédictifs soutient que cette cotation est le meilleur reflet instantané de l’information disponible sur la pérennité du projet.
 
  • De même que le cours de bourse serait le meilleur indicateur des perspectives futures d’une entreprise.
 
  • Si l’A380 avait fait l’objet, parmi les salariés d’Airbus, d’une cotation quant à ses chances de tenir le planning, il est ainsi probable que le cours du projet aurait baissé bien avant l’annonce officielle des difficultés.
 
  • C’est la loi des grands nombres qui intervient ici : aussi est-il est tentant de chercher, comme dans les sondages, à identifier des échantillons représentatifs.
 
  • Telle est la tendance qu’aperçoit le New York Times : distinguer de petits groupes de personnes représentatifs de l’opinion publique de l’entreprise et dont le point de vue peut être considéré comme éclairé.
 
  • La cotation qu’attribuent ces groupes témoins à une idée ou à un projet peut alors servir d’indicateur à la direction générale.
 
  • Des logiciels facilitent naturellement cette démarche.
 
  • Après la politique, les sondages sont-ils appelés à gouverner les entreprises ?
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