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Diagonales : Le paradoxe obligataire
13-12-2009
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Après une année d'emprunts massifs des Etats à des conditions particulièrement favorables, on pouvait s'attendre à ce que les taux d'intérêt remontent avec les premiers signes de reprise. Or, quand les taux d'intérêt augmentent, le cours des obligations diminue. Et compte tenu des montants colossaux d'obligations en circulation, la baisse de leurs cours pourrait, par un effet de boule de neige, se transformer en débâcle. L'absence de krach obligataire signifie donc peut-être que la reprise n'est pas là.

En somme, si tout va bien, c'est que tout va mal !

 

 

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Jean-Jacques Salomon

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