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Diagonales : Le carbone et l'écriture
14-10-2014
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L'empreinte énergétique moyenne d'un livre classique en papier de 224 pages, édité, imprimé et distribué en France, a été estimée à un kilogramme d'équivalent carbone. La conception représente 10% du bilan, le reste allant à la fabrication, au marketing et à la distribution. On publie chaque année dans l'Hexagone environ 60 000 nouveaux titres. Le bilan énergétique annuel direct de l'ensemble des écrivains français est ainsi, au titre de leur activité d'écriture, de six tonnes d'équivalent carbone. C'est autant que six allers-retours Paris-New York.

De toutes les professions, celle d'écrivain est la moins polluante. A condition de ne pas la pratiquer en avion !

 

 

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Jean-Jacques Salomon

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