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Diagonales : Faut-il calmer les colériques ?
10-03-2011
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Si Sénèque revenait, il ne dirait peut-être plus que la colère est mauvaise conseillère. Des psychologues de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA) ont en effet montré qu'on fait, en colère, des choix plus rationnels que lorsqu'on reste calme. C'est paradoxal, mais il semble que, plus que le sang froid, le sang chaud écarte plus les risques de déni de réalité, d'autosuggestion ou de complaisance.

Ainsi, un groupe de travail gagne en objectivité et en efficacité quand, en réunion, l'un des participants pète les plombs. Voilà une best practice qui ne devrait pas être trop difficile à mettre en oeuvre.

 

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Jean-Jacques Salomon

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