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Diagonales : Facebook, un faux ami ?
05-02-2015
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Selon divers témoignages, il ne ferait pas aussi bon vivre chez Facebook qu'on a pu le dire. Ce qui, de l'extérieur, semble le plus fun est vécu comme une contrainte à l'intérieur. Contrairement à ce qu'on s'imagine, travailler serrés comme des sardines autour d'une immense table dans un open space de la taille d'un terrain de foot, ce n'est pas du tout rigolo. Quant au management entre copains, ce serait non seulement peu efficace mais aussi générateur de conflits.

De telles complaintes ne sont pas spécifiques à Facebook : on les entend  chez d'autres grands noms de la nouvelle économie. Mais ce dont certains salariés du premier réseau social mondial déclarent le plus souffrir est spécifique à Facebook  : ils se plaignent de devoir passer des journées de travail entières sur... Facebook. Alors que, pour le commun des mortels, la lecture des mails inutiles, la paperasserie administrative et les réunions stériles permettent, au bureau, d'échapper par moment au network, ceux qui bossent chez Facebook s'en sentent prisonniers 24/24. Groucho Marx disait qu'il n'accepterait jamais d'entrer dans un club qui l'accepterait comme membre. Qu'aurait-il pensé d'une entreprise qui vous oblige non-stop à être son ami ?

 

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Jean-Jacques Salomon

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