Références (par oomark)    n° 1807       Abonnez vos amis et relations en cliquant ici

 Topo : "Corrections : jusqu'où aller ?"

Jules Husson, dit Champfleury, Balzac, sa méthode de travail, 1879 :

• Balzac accablait les typographes, ses malheureux exécutants, des mêmes difficultés qui empêchèrent longtemps Beethoven et Wagner de devenir populaires dans les concerts. [...]
  
• Ancien imprimeur et connaissant le prix auquel entraînent les corrections — cinquante centimes l’heure, — Balzac semble avoir été absolument indifférent à ces dépenses qui prennent d’assez fortes proportions quand le démon de la rature s’empare d’un écrivain.
  

• Le prestataire : les changements demandés ne sont pas dans le cahier des charges
• Le client : sauf que votre progiciel n'est pas conforme à ce que vous annonciez
• Le prestataire : pour ce que vous voulez, il faudra un avenant
  
• Le client : pas question de payer plus, vous nous avez livré moins
• Le prestataire : pourtant vous savez bien le temps que ça va nous prendre
• Le client : ça c'est votre problème, moi je veux un produit qui marche !

Après la régie et le forfait : la régie forfaitée

"En diplomatie, l'ultimatum est la dernière exigence avant les concessions." Ambrose Bierce

La colle du jour : Désaxée ou symétrique : quelle mise en page adopter pour un article rigoureux ?  Réponse   avec     

  Quand on aime, on ne compte pas : « ELLE ». Le grand magazine féminin affiche une diffusion de 380 000 exemplaires. Mais quelle est la proportion d’hommes dans son lectorat ?   Réponse   avec   

Carnet RH : Le fait d’entretenir une liaison avec l’épouse de son patron et de s’en vanter peut-il constituer motif de licenciement pour faute ?   Réponse   avec

Culture COM : Cette image explosive à la façon d’un Pollock est une publicité, dont le message paraît évident lorsqu’on aperçoit le logo de l’annonceur. De qui s’agit-il ?   Réponse   avec 

Curiosités : « Elysette ». Cette maison de maître est appelée « Elysette ». Pourquoi ?       Réponse