L'origine du mot calembour est incertaine.

Selon l'Académie française, c'est sous la plume de Diderot qu'il aurait fait son apparition, dans une lettre à Sophie Volland en 1768.

D'aucuns font dériver le mot d'un certain comte de Kahlenberg, ambassadeur d'Allemagne à la cour de Versailles, dont l'accent rendait les propos si difficiles à comprendre que ses interlocuteurs finissaient par leur donner un sens différent de celui que le diplomate visait.

Mais on n'a guère de traces probantes de ce personnage.

Le calembour Kahlenberg relève peut-être du canular.