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Les mots pour le dire : « Signaux faibles ». L’expression relève encore du langage spécialisé de l’intelligence économique. Mais elle pénètre le monde de l’entreprise. De quoi s’agit-il ?
14-07-2008
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  • Dans le langage de la géopolitique et du renseignement, les signaux faibles sont ces informations d’apparence secondaire, qui n’apportent guère d’enseignement brut, mais qui compilées et associées, peuvent signaler en amont des évolutions majeures.
 
  • L’intelligence économique porte une attention particulière aux signaux faibles : ils permettent d’anticiper les ruptures.
 
  • Et c’est peut-être par leurs aptitudes à discerner les signaux faibles que se distinguent les équipes d’analyse.
 
  • Comme souvent, ce sont les consultants qui font « passer » l’expression dans le langage de l’entreprise.
 
  • Parions qu’elle est appelée à y connaître un succès durable.
 
  • L’accélération et la complexité croissante de la vie économique donnent en effet un atout aux entreprises qui savent anticiper.
 
  • Les signaux faibles sont à cet égard de première importance : bien les apercevoir peut conférer de réels avantages concurrentiels.
 
  • Les patrons-fondateurs identifient les signaux faibles parl ’intuition.
 
  • Les dirigeants plus traditionnels les captent par leurs réseaux et leurs échanges.
 
  • Mais dans chaque cas, il relève de la responsabilité de la Direction Générale de s’organiser pour saisir les signaux faibles.
 
  • Enjeux fondamentaux pour demain.
 
  • Expression à suivre.

 

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