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Les mots pour le dire : « La lumière du phare d'Alexandrie fait naufrager les papillons de la jeunesse.» Lancée en entreprise, la formule fait toujours mouche. Mais de qui est-elle ?
07-12-2008
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logotmc

 

  • C’est subtil comme du Plutarque et beau comme du Victor Hugo.
 
  • Mais c’est du Claude François !
 
  • Sa dernière chanson est plus vivante que jamais.
 
  • C’est le morceau de choix des soirées professionnelles en boîte de nuit.
 
  • Aux seuls noms d’Alexandrie et d’Alexandra, les barrières hiérarchiques s’effacent, les générations se fondent, et d’un même élan des bras et des hanches chacun communie dans le souvenir de Cloclo (1939-1978).
 
  • Les paroles exactes sont : «La lumière du phare d'Alexandrie fait naufrager les papillons de ma jeunesse.»
 
  • Presque deux alexandrins si l’on est indulgent.
 
  • Sortis de leur contexte, ils percutent.
 
  • Lorsqu’un projet sympathique mais naïf est présenté par un junior, inutile d’en souligner les aspects improbables.
 
  • Dire plutôt : «La lumière du phare d'Alexandrie fait naufrager les papillons de la jeunesse.»
 
  • Chacun comprendra, dans la bonne humeur, et sans être blessé.
 
  • Comme si l’on était en boîte de nuit.


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