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Les mots pour le dire : « C’est un mauvais, c’est un bon ». Pourquoi mauvais et bon, ces mots passe-partout, sont-ils si populaires dans l’univers professionnel ?
05-04-2009
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« C’est un mauvais, c’est un bon ». La langue française est riche d’adjectifs précis. Pourquoi mauvais et bon, ces mots passe-partout, sont-ils si populaires dans l’univers professionnel ?


  • L’habitude trouve sans doute ses racines à l’école.
 
  • Depuis Charlemagne, on n’hésite pas à classer les potaches en bons et mauvais élèves.
 
  • A la façon des Grecs qui distinguaient les kalos kagathos, homme beaux et bons, et les autres.
 
  • Avec l’évolution des pratiques pédagogiques, on hésite désormais à se livrer, dans le monde scolaire, à des jugements aussi rapides.
 
  • Mais l’univers professionnel a conservé cette tradition.
 
  • Il n’est pas inhabituel de se limiter, lorsqu’il s’agit d’évaluer un manager, à un adjectif : c’est un bon, ou, au contraire, c’est un mauvais.
 
  • Parfois l’adverbe vient en renfort : c’est un très bon, c’est un très mauvais.
 
  • Pourquoi ce goût pour des formules aussi réductrices ?
 
  • Peut-être parce que, comme dans l’école d’autrefois, dans l’entreprise seul compte vraiment le résultat !
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