Diagonales : Entente cordiale |
21-12-2008 | ||
La police a effectué une perquisition au domicile et dans le bureau d'un député soupçonné d'abus de confiance. L'opération, que le président de la chambre avait autorisée, suscite une vague d'interrogations au sein de l'opposition. Le gouvernement estime qu'il faut laisser la police faire son travail. Quant au porte-parole de la majorité, il accuse ses adversaires de vouloir monter l'affaire en épingle pour faire oublier leurs faiblesses internes. On n'exclut pas, toutefois, l'hypothèse d'un règlement de compte.
Jean-Jacques Salomon
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