La patrie de deux grands ministres |
21-11-2019 | ||
"Je me suis promené trois heures dans les rues de Montpellier ; j’y ai trouvé beaucoup de gaieté et de vivacité ; il y a des maisons élégantes. Cette ville ne doit point attrister les malades qui viennent y chercher la réunion si rare de médecins célèbres et d’un beau climat. Au fond, le grand mérite de Montpellier est de n’avoir pas l’air stupide, comme les autres grandes villes de l’intérieur de la France : Bourges, Rennes, etc. Montpellier est la patrie de deux grands ministres, que Napoléon eut le bonheur de rencontrer et d’apprécier : les comtes Daru et Chaptal, gens comparables à Colbert."
Stendhal, Mémoires d'un touriste, (posthume, 1854)
Jean-Jacques Salomon Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir |
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