Pianissimo |
06-07-2018 | ||
La deuxième moitié du Second Empire et le début de la Troisième République sont l’âge d’or du piano à Paris. Chaque immeuble, même dans les quartiers populaires, en comporte généralement au moins un. La femme au piano, telle Suzanne Manet par son mari Edouard, devient un thème classique de la peinture française. Le nombre de professeurs de piano augmente. La capitale en compte quelque 20 000 à la chute de Napoléon III. Les méthodes pour l'apprendre facilement commencent à foisonner.
Jean-Jacques Salomon
Retrouvez cette histoire dans L'étonnant pouvoir de la musique , de Marie-Noële Vidal, aux Editions du Palio. Parution le 26 octobre 2017.
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