Diagonales : Sous le pont Mirabeau, coule le radicalisme
04-11-2013
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Au bas de la cinquième colonne à la une du Figaro du 5 novembre 1913, le chroniqueur qui se cache sous le nom de Masque de fer écrit ce dialogue : Rentrée : « J’en suis déjà à mon cinquième groupe ! – Bravo ! Vous êtes artiste ? – Non, je suis radical. »

Un siècle plus tard, Jean-Louis Borloo, président du Parti Radical, et François Bayrou ont annoncé, via Twitter, qu’après plus de onze ans de séparation leurs formations envisagent de se regrouper. Comme le poète, le radicalisme pourra dire : « Vienne la nuit sonne l’heure, les jours s’en vont je demeure ».
 

 

 

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Jean-Jacques Salomon

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