Et si Facebook avait existé en 1914 ? A partir de cette question, le musée de la Grande Guerre du pays de Meaux a ouvert une page sur le réseau social au nom de Léon Vivien, un instituteur imaginaire qui y raconte au jour le jour sa vie à l’arrière puis au front. L'objectif est de susciter un intérêt pour la Première Guerre mondiale chez le plus grand nombre, notamment parmi les plus jeunes. Il semble que cette approche fonctionne : la page de Léon Vivien affiche plus de 60 000 "like".
Sur Twitter, @General_2Gaulle ne dispose que de quelque 700 abonnés. Mais ce n’est qu’un début. A la fin du mois de juin 1940, l’effectif de France Libre n’était pas plus élevé.
Jean-Jacques Salomon