Diagonales : Métro, boulo, kobo*
02-01-2012
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Avant l'apparition des liseuses électroniques, les choses étaient simples dans le métro. On pouvait juger les gens sur ce qu'ils lisaient. Le titre d'un journal, la couverture d'un livre, suffisaient à se forger une opinion arrêtée sur la personnalité de ses voisins, et à orienter l'attitude de sympathie ou de réserve qu'on allait adopter à leur égard pendant le trajet.

Mais depuis que les Kindle* et autres Kobo* ont fait leur apparition dans les transports publics, on ignore ce que les gens lisent. Et il ne reste plus que la gueule pour les juger !




* Kobo et Kindle sont des marques de livres numériques

 

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Jean-Jacques Salomon

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