Mercredi 15 juin 2011
13, rue Sainte
Cécile
75009
Paris
9h30 – 12h45
Déjeuner 13h-14h30
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Prévenir l'échec, repérer le
succès :
4 indicateurs à surveiller en entreprise
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L'objectif
Mieux anticiper les
risques d'échec et les perspectives de succès
Si
les tableaux de bord abondent dans les entreprises, ils font cependant
rarement consensus.
Ici,
le directeur commercial tient une comptabilité parallèle qu’il estime
plus juste et éclairante que celle du contrôle de gestion. Là, le
directeur général s’appuie sur des données extra-comptables pour
décider l’arrêt ou la poursuite d’un projet.
De
même qu’en matière de performances le hors-bilan en dit parfois plus
que les comptes annuels, l’appréciation réelle du risque relève souvent
d’autres valeurs que celles du reporting officiel. Cette tendance se
manifeste tout spécialement quand il s’agit de se prononcer sur un
échec ou un succès.
Pourquoi décide-t-on d’aller de l’avant quand les indicateurs sont au
rouge ? Pourquoi met-on fin à des opérations alors que les premiers
résultats s’annoncent prometteurs ? Comment fait-on d'un échec un succès ?
Dans chaque cas, c’est qu’au moment de statuer on convoque d’autres
critères que ceux du compte d’exploitation. Combien d’échecs évités et
de succès surprenants sont déterminés par l’intuition et l’obstination
plutôt que par les chiffres !
Pour l'atelier du 15 juin, nous avons retenu quatre questions qu’on
gagne à se poser quand vient le moment de pondérer des prévisions. Et
pour chacune, nous proposons une démarche d’évaluation et de définition d'indicateurs appropriés.
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Un besoin de meilleurs indicateurs
Enquête
Occurrence-oomark, avril 2011
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Faut-il
échouer pour réussir ?
Enquête
Occurrence-oomark, avril 2011
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L'agenda
De l'échec au succès : quatre indicateurs-clés
9h30 – 10h15 – L’importance du processus de
décision
Les
grands échecs financiers ont souvent un point commun : ils
relèvent d’opérations décidées en dehors des procédures. Chaque fois,
il y a une bonne raison. Ici, c’est pour aller vite dans un marché qui
n’attend pas. Là, pour ne pas se laisser freiner par le conservatisme
des structures. S’il est parfois justifié de contourner les
contrepouvoirs, c’est généralement plutôt le signe d’un dérèglement.
Dans tous les cas, la portée d’une décision dépend de la façon dont
elle est prise. Comment en tenir compte ?
10h15 – 11h – Le poids des diplômes
Les
statistiques de l’Insee montrent qu’en matière de création de société,
les détenteurs d’un BTS et de quelques années d’expérience réussissent
mieux que les jeunes issus de l’enseignement supérieur général et des
grandes écoles. Tout se passe comme si le sens pratique et les réflexes
de terrain valaient mieux que l’esprit de synthèse et l’intelligence
abstraite. Dans les entreprises, les titulaires de diplômes prestigieux
emportent cependant plus facilement l’adhésion quand il s’agit de
défendre un projet. Souvent pour le meilleur, parfois pour le pire.
Selon les situations, les diplômes peuvent justifier la confiance ou
inspirer la défiance. Faut-il s'en méfier ? Comment les
discriminer ?
11h15 – 12h – L'enjeu sociétal
Lorsque les valeurs qu’elle revendique ne sont pas en accord avec ses
pratiques, une entreprise est comme une bombe à retardement : elle
risque d’exploser. Et quand ses pratiques ne sont pas cohérentes avec
les valeurs de son écosystème, elle est en zone de risque. C’est
souvent après coup qu’on comprend les facteurs de fragilité. Il est
pourtant possible d’appréhender en amont certaines de ces faiblesses.
Comment repérer ce talon d’Achille et quels indicateurs sociétaux mettre en
place ?
12h
– 12h45 – Le rôle
du pessimisme et de l’optimisme
La
prise en compte du pessimisme et de l’optimisme est implicite dans
certains processus managériaux. Les responsables commerciaux s’y
réfèrent lorsqu’ils pondèrent les prévisions en fonction des
tempéraments des vendeurs, tout comme les financiers quand ils
distinguent des hypothèses hautes et basses. Au-delà des individus, ce
sont cependant tout autant les entreprises qui sont optimistes ou
pessimistes. Mais on ne les gère pas de la même façon. Pour éviter les
échecs et donner ses meilleures chances à un projet, il est utile de
déterminer la catégorie dont relève l’entreprise qui le conduit. Dès
lors, comment évaluer le pessimisme et l’optimisme d’une entreprise, et
quel enseignement en tirer ?
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13h – 14h30 – Déjeuner : nos plus belles gamelles, nos plus grandes réussites...
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La méthode
Chacun
des thèmes abordés comporte un exposé des organisateurs, la réaction
d'un témoin et un échange d'atelier entre participants.
Avant
la réunion, un mémo préparatoire est transmis aux participants.
A
l'issue de l'atelier, un guide des bonnes pratiques établies en
commun leur est adressé.
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Coupable mais pas
responsable ?
Enquête
Occurrence-oomark, avril 2011
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La
réussite est prévisible
Enquête
Occurrence-oomark, avril 2011
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Les organisateurs
Fondé en 1995 par Assaël Adary et Benoît Volatier, Occurrence est un
institut d'études indépendant spécialisé dans l'évaluation de la
communication. Son équipe (20 permanents) conjugue maîtrise des
techniques d’évaluation et expertise dans la fonction communication.
Membre de Syntec Etudes depuis 2002, Occurrence est certifié ISO
9001depuis 2004.
Diplômé
de l'Université Paris-Dauphine en économie appliquée et d'un magistère
de communication au CELSA (Paris IV - Sorbonne), Benoît Volatier est
vice-président de Syntec Etudes, en charge de la communication.
Après des études de philosophie, Assaël Adary intègre le CELSA, où il rencontre Benoît Volatier.
Assaël
Adary et Benoît Volatier sont les auteurs de "Souriez, vous êtes
mesurés" (2001) et "Evaluez vos actions de communication: Mesurer pour
gagner en efficacité" (2008)
Créé
en 1997 par Jean-Jacques Salomon, oomark publie la newsletter
quotidienne Références, qui met chaque jour en regard culture générale
et problématiques d'entreprise. Cette approche éditoriale éclaire de
façon singulière les enjeux managériaux. La newsletter Références
réunit plus de 20 000 lecteurs réguliers.
Polytechnicien,
Jean-Jacques Salomon a travaillé successivement dans la banque, la
communication et l'informatique. Il est l'auteur de "C'est quoi le plan
B ?" (2008)
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Verbatim
Le pire des échecs, c'est de persister dans une voie que l'on refuse de considérer comme condamnée.
Avoir perdu, s'être trompé, mais en tirer une analyse constructive, c'est tout sauf un échec.
Une des causes d'échec est une vision trop étroite des chances de réussite.
Un échec apparent s'analyse quelques mois plus tard comme une réussite.
Enquête
Occurrence-oomark, avril 2011
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Les témoins
Giandra de Castro
Giandra
de Castro est co-fondatrice de Jack in the Box, le seul éditeur
spécialiste français du Proposal Management. Elle a mis en place des
dispositifs dans des entreprises pionnières en la matière (Xerox,
SFR, Accor...) en France et à l'international, au bénéfice de
milliers de commerciaux. Giandra de Castro est diplômée de l'EDHEC et
co-auteur de Optimisez vos propositions commerciales (2009).
Francis Willigsecker
Francis Willigsecker est co-fondateur en 2001 de Business Psychology
Consultants, premier cabinet de conseil français exclusivement dédié
aux projets d’évaluation du capital humain. Ses activités incluent la
réalisation d’évaluations, de sélection ou de développement par
assessment center, l’optimisation des systèmes d’évaluation de
l’entreprise et le transfert de savoir-faire en évaluation. En avril
2011, Business Psychology Consultants a rejoint le groupe Manpower.
Basile Guibert
Après des études en sciences sociales et un Master en Intelligence
Economique, Basile Guibert occupe aujourd'hui le poste de directeur
général de LCGS associés, un jeune cabinet d'intelligence sociétale et
stratégique dont il est l'un des associés fondateurs.
Frédéric Buchet
Ancien
élève de l'ESCP-EAP, Frédéric Buchet a créé Genova Consulting en 2008.
Il accompagne les entreprises dans le développement des compétences de
leurs collaborateurs, notamment dans le domaine commercial. Frédéric
Buchet est l'auteur en 2010 des Tableaux de bord de la fonction commerciale: Gérer le «Combien», Manager le «Comment», Vendre le «Pourquoi».
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Mercredi 15 juin 2011
13, rue Sainte
Cécile
75009
Paris
9h30 – 12h45
Déjeuner 13h-14h30
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Tarif : 180 euros
HT (soit 215,28 euros TTC)
Sans déjeuner : 150 euros
HT (soit 179,40 euros TTC)
Convention de formation sur
demande
Le tarif comprend le guide de bonnes pratiques communiqué à l'issue de la réunion
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