Skip to content
Pianissimo
06-07-2018
Facebook!  Partager sur Twitter

 

La deuxième moitié du Second Empire et le début de la Troisième République sont l’âge d’or du piano à Paris. Chaque immeuble, même dans les quartiers populaires, en comporte généralement au moins un. La femme au piano, telle Suzanne Manet par son mari Edouard, devient un thème classique de la peinture française. Le nombre de professeurs de piano augmente. La capitale en compte quelque 20 000 à la chute de Napoléon III.  Les méthodes pour l'apprendre facilement commencent à foisonner.

Elles ne cesseront pas.

jjsjpeg

 

Jean-Jacques Salomon

Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir

 

Retrouvez cette histoire dans L'étonnant pouvoir de la musique , de Marie-Noële Vidal, aux Editions du Palio.

Parution le 26 octobre 2017.

 

Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
 

Newsletter quotidienne gratuite

 Inscription à EN MÊME TEMPS (par oomark)

Le point de détail

Vers la statue de Vulpian

Le goût de la recherche est amplifié par la lecture des articles scientifiques. Le goût de la lecture naît au hasard des livres étalés dans une librairie. Pour moi, les visites à la Librairie de l'Escalier, qui ouvre vers la statue de Vulpian, près de la faculté de médecine Paris-Descartes, sont dans c [ ... ]
Sans l'avoir jamais entendu

87 - Je me souviens que Caravan, de Duke Ellington, était une rareté discographique et que, pendant des années, j'en connus l'existence sans l'avoir jamais entendu. Georges Perec, Je me souviens, Hachette, 1978 [ ... ]
On a cherché qui avait eu les torts

En 1859, deux ans après la mort d’Alfred de Musset, George Sand fait paraître Elle et lui, qui raconte leur histoire. Choqué par le rôle que Sand faisait jouer à son frère, Paul de Musset répond par Lui et elle – et Louise Colet, qui avait eu une liaison avec Musset, renchérit par un Lui. [...] [ ... ]