Diagonales : Ici, on accepte les francs |
12-02-2009 | |||||
Hier, c'était le boulanger. Aujourd'hui, la papeterie s'y met. On ne compte plus les devantures qui affichent : Ici, on accepte les francs. Pas les pièces, qu'on ne peut plus échanger. Mais les billets, que la Banque de France est encore tenue de convertir. On devine que l'idée est de faire un peu plus chiffre d'affaires avec ces fonds de tiroirs dont chacun pensait qu'ils avaient perdu toute valeur. Mais à l'heure où l'on hésite entre déflation et inflation, cette résurrection du franc résonne comme un avertissement.
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Jean-Jacques Salomon
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